Des centaines de membres des communautés palestiniennes et arabes et d'organisations de défense des droits de l'homme ont participé à une procession en véhicules qui a parcouru les rues de la ville de Chicago, dans l'Illinois, pour exiger l'interdiction de la vente d'armes à l'occupant sioniste et la fin de toute l'aide américaine, pour le forcer à mettre fin à l'agression en cours dans la bande de Ghaza.
Les participants ont brandi des banderoles et le drapeau palestinien sur les véhicules qui circulaient à proximité des centres commerciaux et des rassemblements humains, pour les motiver à prendre des mesures similaires pendant cette période et défendre les droits des Palestiniens.
Ils ont également appelé les membres du Congrès de l'Etat à prendre des mesures «urgentes» pour mettre fin aux massacres commis par l'entité sioniste à Ghaza et à fournir une aide aux citoyens de la bande du nord, assiégée depuis plus de 50 jours.
Par ailleurs, les membres du Comité argentin de solidarité avec le peuple palestinien manifesteront lundi dans les rues de Buenos Aires, pour exiger la fin du génocide perpétré contre le peuple palestinien à Ghaza.
La mobilisation débutera à 17h30, heure locale, à l'intersection entre l'Avenida de Mayo et le 9 de Julio, à quelques mètres du siège diplomatique, rapportent des médias.
Sous le slogan «Noël sans génocide», les personnes présentes à la manifestation exigeront «un cessez-le-feu, la fin de l’apartheid et de l’occupation», en Palestine.
Devant l'ambassade sioniste, aura lieu une manifestation politico-culturelle, avec la participation d'artistes et d'intervenants.
«Tous les peuples du monde méritent de passer les vacances dans la paix et la justice», affirme un communiqué du Comité.
«Nous rejetons, une fois de plus, le génocide perpétré par l'entité sioniste à Ghaza et dans toute la Palestine occupée, et exigeons que le gouvernement argentin ne continue pas à soutenir des politiques criminelles», ajoute un autre texte du comité argentin de solidarité avec le peuple palestinien.
En outre, il exhorte le président Javier Milei «à ne pas parler en notre nom et à ne pas soumettre le peuple argentin à la complicité dans l'un des crimes les plus aberrants de notre histoire contemporaine».
De même, les membres du Comité jugent inacceptables les meurtres de civils palestiniens, ainsi que la famine, la maladie et les déplacements continus dont les Palestiniens souffrent.
APS