Radio Algérienne
La Vice-présidente de la République de Namibie, Mme Netumbo Nandi-Ndaitwah, a félicité, ce lundi, le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, pour sa réélection pour un second mandat, indique un communiqué de la présidence de la République.
Dans un message empreint de respect et d’amitié, Mme Nandi-Ndaitwah a salué « la confiance renouvelée du peuple algérien envers son Président ».
«Au nom du gouvernement et du peuple namibiens, je vous adresse mes sincères félicitations pour votre brillante réélection en tant que Président de la République algérienne démocratique et populaire. Votre victoire éclatante témoigne de la confiance que le peuple algérien accorde à votre leadership et à votre vision pour l’avenir de votre pays», écrit Mme Nandi-Ndaitwah.
Selon la même source, « la Vice-présidente namibienne a exprimé son espoir que l’Algérie, sous la direction du Président Tebboune, atteindra de nouveaux sommets en matière de développement et de prospérité ».
En évoquant les valeurs communes de justice, de droits de l’Homme et d’autodétermination, Mme Nandi-Ndaitwah a également réaffirmé « l’engagement de la Namibie à œuvrer aux côtés de l'Algérie pour soutenir les luttes des peuples en quête de liberté, notamment ceux de la Palestine et du Sahara occidental ».
«La Namibie attache une grande importance aux relations fraternelles qui existent de longue date entre nos deux pays, basées sur la coopération, l’unité et une vision partagée. En tant que pays fermement engagé pour la justice, les droits de l’homme, l’autodétermination et la décolonisation, la Namibie est prête à échanger avec vous sur les moyens de soutenir les peuples du Sahara occidental et de Palestine», a souligné Mme Nandi-Ndaitwah, exprimant sa volonté « de travailler avec le Président de la République pour renforcer les liens d’amitié et de coopération entre la Namibie et l’Algérie ».
«Alors que vous entamez vos nouvelles fonctions, je suis ravie à l’idée de collaborer avec vous pour renforcer et consolider les liens d’amitié qui nous unissent », conclut Mme Nandi-Ndaitwah.
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