Si les risques majeurs sont désormais connus, il se trouve que de nouveaux viennent s’y greffer, induits notamment par les changements climatiques. De même qu'il est aujourd"hui questions de nouveaux risques, à l'instar des risques technologiques pour lesquels le professeur Abdelkrim Chelghoum préconise des simulations en vue de détecter les défaillances des systèmes d’alerte et réduiure les vulnérabilités pour de meilleures sécurisation et protection des personnes et des biens.
C’est ce qu’a soulginé le directeur de recherche à l’USTHB (Université des sciences et des technologies Houari Boumédienne) d’Alger, qui s’exprimait ce jeudi au sein de l’émission L’invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, à l'occasion de la journée intrnationale des risques majeurs ce 13 octobre.
Le président du Club des experts des risques majeurs qui déplore cependant l’absence d’un Observatoire national de gestion des risques, dont il plaide la mise en palce « depuis plus d’une quinzaine d’années », insiste sur l’établissement d’une cartographie affinée des risques par région et jusqu’à l’échelle de la commune. « Une cartographie qui doit être affichée à tous les niveaux, à commencer par le président de l’APC, premier responsable de la commune ».
Abordant un autre niveau de risques, l’invité de la Radio évoque, à l’ère de leur globalisation, les risques énergétique et alimentaire qui dominent en ce moment la scène internationale. Il cite à ce propos les enjeux de la sécurisation des pipelines.