Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a déclaré, ce lundi lors de l'ouverture de la 55e session du Conseil des droits de l'Homme des Nations Unies, à Genève, que « rien ne justifie une punition collective contre le peuple palestinien », et que l'agression sioniste contre la ville de Rafah « mettra le dernier clou dans le cercueil des programmes d'aide ».
M. Guterres a ajouté que « le droit international humanitaire est menacé à la lumière du meurtre de dizaines de milliers de civils à Ghaza », appelant à un cessez-le-feu immédiat.
En ce sens, il dira que « la présence de l'Unrwa y est essentielle pour distribuer l'aide humanitaire d'urgence », ajoutant que « le manque d'unité du Conseil de sécurité concernant Ghaza a miné son autorité (…) Le monde évolue vers la multipolarité, mais sans institutions, ce qui provoque le chaos ».