L’accélération et la généralisation du processus de numérisation a, encore une fois, été au menu du Conseil des ministres d’hier, dimanche, constituant ainsi l’une des priorités du président de la République, pour inscrire résolument le pays dans la modernité, la transparence et bannissement de la bureaucratie.
De nos jours, la numérisation est le plus important levier de croissance dans le monde. Cependant, seuls les pays disposant des moyens d’investissement peuvent y accéder, car cela implique de se doter de tout le hardware, infrastructures et équipements nécessaires, d'où la fracture numérique entre les pays développés et certains pays du sud, qui reste béante.
« On ne peut aujourd’hui envisager l’avenir sans l’intégration des nouvelles technologies de l’information avec ces deux dimensions : la data et l’intelligence artificielle ». C’est ce qu’a souligné, ce lundi, Abderrahmane Hadef, consultant et expert en géo-économie, qui s’exprimait à l’émission L’invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne.