Avec le dérèglement climatique mondial « tout peut arriver », prévient Abdelkrim Chelghoum, président du Club Algérien des risques majeurs. « On peut avoir des incendies en décembre et des inondations en juin » explique-t-il dans une déclaration à la Chaine 3 de la Radio Algérienne.
Selon l’expert en risques majeurs, la végétation couvrant le contour méditerranéen est particulièrement exposée aux incendies. Il précise, dans ce sillage, que l’Algérie qui est un pays semi aride fait partie des points sensibles en termes de dérèglement climatique.
En plus des incendies et des inondations, M. Chelghoum évoque d’autres phénomènes redoutables à l’instar de la désertification, la sécheresse et l’avancée du désert qui menacent l’environnement régional.