Radio Algérienne
L’Algérie, qui a toujours milité pour la souveraineté politique et économique de l’Afrique, vient de se voir confier, en la personne du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, la présidence du MAEP (Mécanisme africain d’évaluation par les pairs).
Ce mécanisme de l’Union africaine (UA), dont l’existence a eu aussi lieu à l’instigation de l’Algérie, permet en effet le suivi du développement économique africain, et notamment l’identification de domaines de coopération inter-africaine. Cet événement coïncide, faut-il le souligner, avec l'accession de l’Algérie, début 2024, au Conseil de sécurité de l’ONU en tant que membre non permanent pour un mandat de deux ans. « Ceci permettra à notre pays de porter davantage la voix de l’Afrique sur la scène internationale ».
C’est là, l’analyse de M. Said Ayachi, militant des droits de l’Homme, président du Comité de soutien et de solidarité avec le peuple sahraoui et signataire de la plainte pour traduire l’entité sioniste devant la Cour pénale internationale.
M. Ayachi, qui s’exprimait lors de l’émission L’invité de la rédaction de la chaine III de la Radio Algérienne, soutient le principe de « l’Afrique aux Africains » loin de toute ingérence étrangère motivée par des appétences immenses pour ses richesses naturelles.
