« Bien qu’il ait une connotation africaine, l’ IATF 2025 est un événement où les start up et micro-entreprises peuvent même procéder à des levées de fonds et négocier des contrats à l’international». C’est ce qu’a déclaré, ce matin, le ministre de l'Economie de la connaissance, des Start up et des Micro-entreprises.
M. Noureddine Ouadah qui s’exprimait au sein de l’émission L’invité du jour de la chaine 3 de la Radio Algérienne, a expliqué que la stratégie du gouvernement algérien pour ce grand événement a été de mettre les start up et l’entreprenariat au cœur de cette quatrième édition, et ce, avec ces trois dimensions : l’innovation, l’entreprenariat féminin, l’entreprenariat des jeunes.
D’ailleurs, les milliers des visiteurs, nationaux et étrangers, ont sans doute noté la présence en force, dans le pavillon central du Palais d’expositions, des start up algériennes à côté de celles d’autres pays africains.
Le ministre précise que le pavillon dédié comprend quelque 70 start up africaines dont la majorité sont des algériennes avec « des activités fortement présentes dans nos pays africains à l’instar de l’agriculture, la santé, l’éducation et les TIC ».
Nombre d’entre elles activent aussi dans les secteurs du Tourisme et de l’artisanat. L’invité de la Radio a souligné à ce propos que la démarche de son Département a été celle de saisir l’opportunité de la tenue de l’IATF à Alger pour faire la promotion de la destination Algérie et de ses divers et nombreux produits de l’artisanat et du savoir-faire national. « Nous avons fait en sorte que nos start up brillent et tirent profit de cet événement », a-t-il dit.