« L’Algérie essaye par une valse diplomatique de mobiliser un maximum d’acteurs sur la scène internationale pour mettre un terme à l'agression que subit le peuple palestinien », indique Abdelkader Soufi, docteur et chercher sur les questions géologiques et sécuritaires, en soulignant que l'Algérie demeure un des premiers et meilleurs soutiens à la cause palestinienne.
Invité, dimanche matin, de la Rédaction de la Chaine 3 de la Radio Algérienne, celui-ci, précise que notre pays a multiplié efforts et actions en faveur du peuple palestinien en lançant plusieurs appels à la communauté internationale notamment à l Union Africaine, La Ligue Arabe, l’assemblée islamique mondiale mais aussi à travers des pays non alignés ou il est membre influant. « L’Algérien a toujours soutenu les droits des peuples à se libérer et à s’autodéterminer », rappelle -t-il.
Enchainant dans le même ordre d’idées, M. Soufi, dit que les différentes visites ou déplacements du président de la République et du chef de la diplomatie algérienne, mais aussi de certains chefs d’état ou roi arabe, ont toujours tourné autour de la possibilité de trouver un point commun entre l’ensemble des acteurs . « Il faut agir afin de pousser le conseil de sécurité de prendre des mesures draconiennes, mais surtout palpables contre les agressions répétées de l’entité sioniste », ajoute-t-il.L’invité regrette l’absence d’une volonté politique chez certains pays arabes et surtout la faiblesse de décision. En d’autres termes, la souveraineté sur la décision échappe pour souvent. « L’Algérie si elle a cette possibilité, c’est que personne ne peut lui dicter ses positions, puisqu’elle a hérité d’une forte personnalité à l’international », précise-t-il. Ensuite, ajoute M. Soufi, « le faite qu’elle ne soit pas un pays endetté lui permet d’être plus arbitre que claniste ». Selon lui, « cette position impose le respect à l’international, que ce soit avec les grandes puissances mais aussi avec les pays arabes ».