Le PDG de Sonatrach, Toufik Hakkar a affirmé la disposition du groupe à soutenir le partenaire congolais à travers la formation et le transfert d'expérience dans le domaine des hydrocarbures, a indiqué mercredi un communiqué du groupe.
M. Hakkar s'est entretenu, dimanche au siège de la Direction général du groupe, avec la délégation congolaise conduite par le ministre des Hydrocarbures de la République du Congo et président en exercice de la Conférence de l'OPEP, Bruno Jean-Richard Itoua, a précisé la même source, ajoutant que les deux parties ont évoqué plusieurs sujets concernant les domaines de partenariat notamment le pétrole et le gaz.
La rencontre a permis aux deux parties de débattre de «l'expérience que Sonatrach peut apporter en matière de recherche et d'exploration des hydrocarbures, de développement des champs, de raffinage, de production et de transport du gaz et du gaz naturel liquéfié (GNL)».
La délégation congolaise s'est enquise des opportunités et des domaines de coopération en matière de formation spécialisée à l'Institut algérien du pétrole (IAP) relevant du groupe Sonatrach.
Le PDG de Sonatrach a affirmé, à ce propos, «la disposition du groupe à soutenir le partenaire congolais à travers la formation et le transfert de l'expérience dans le domaine des hydrocarbures».
Le groupe Sonatrach «aspire à consolider les relations économiques entre les deux pays et à mettre en oeuvre la stratégie d'investissement au delà des frontières, notamment en matière d'industrie pétrolière et gazière, de transformation et de transport des hydrocarbures», a-t-on souligné.
La délégation congolaise a effectué plusieurs visites au niveau des installations industrielles de Sonatrach, dont la zone industrielle d'Arzew, le Centre de recherche et développement (CRD) et l'IAP à Boumerdès, a-t-on rappelé, ajoutant que ces visites et rencontres ont permis de prendre connaissance «des opportunités riches et disponibles pour le futur partenariat entre les deux pays».
La délégation congolaise avait effectué, depuis samedi, une visite de cinq jours en Algérie, a-t-on rappelé.