Radio Algérienne
Au lendemain de l’indépendance, ils étaient à peine quelques noms, telles des étoiles scintillantes dans le ciel de la littérature algérienne, dont des icônes nées dans la douleur de la nuit coloniale, et devenus les pères de cette littérature qui raconte l’histoire d’un peuple millénaire à l’instar de Mohamed Dib, Mouloud Féraoune, Assia Djebbar, Abdelhamid Benhedouga, Mouloud Maamri, Malek Haddad, Moufdi Zakaria, Mohamed Laid Al-Khalifa, et bien d’autres.
Sur les traces de leurs ancêtres, ceux qui leur ont succédé à l'ère de l'indépendance, dévoilent des œuvres de dimension universelle traduites dans des dizaines de langues étrangères.
Le mouvement littéraire algérien se trouve aujourd’hui chaque année plus enrichi de nouvelles œuvres dans les trois langues pratiquées (arabe, amazighe et française).
Dans cette vidéo, une esquisse de l’histoire de la littérature algérienne avec les écrivains Mohamed Sari et Abdelwahab Aissaoui.
